Durhône Services
Découvrez le témoignage de Patrice DURHÔNE, président de Durhône Services
Pouvez-vous vous présenter ?
Je m'appelle Patrice Durhône, je suis président de la société Durhône Service, DRS.
Que fait votre entreprise ?
Ma famille fait du transport depuis quatre générations, j’ai grandi dans les camions ! J’ai donc fondé DRS avec mon frère en 2007 et nous comptons aujourd’hui 70 salariés en moyenne. À l’origine, nous étions spécialisés sur le transport, la messagerie, le fret de proximité et le dernier kilomètre. Depuis maintenant 3 ans, avec le départ de mon frère, DRS a recentré son activité sur le transport poids lourd. Nous sommes également commissionnaires transports et réalisons de l'affrètement. Nous opérons principalement dans la Drôme et en Ardèche. Nous fonctionnons en circuit court avec des véhicules légers ou des véhicules poids lourds, et nous avons aussi développé un service commercial.
En tant que commissionnaires, nous faisons également du transport en affrètement sur l'Europe entière.
Comment nous avez-vous connu ?
Nous avons été démarchés par Jennifer Arque. Mais avant d'accepter de partir sur quoi que ce soit, je me suis un peu renseigné de mon côté pour savoir qui était Spartes.
Un confrère m’a dit qu’il travaillait avec vous depuis plus de 2 ans. Il m’a rassuré en me disant que c’était très bien.
Donc, c'est pour ça que j'ai franchi le pas avec vous.
Quelle était votre problématique ?
Je n’avais aucune problématique particulière à l’époque. Chaque année nous sommes sollicités par des optimisateurs de paie. Et une des sociétés qui nous avait audité nous avait dit qu'il n'y avait pas grand-chose à faire.
Aussi, j’avais eu un contrôle URSSAF et tout était dans les clous, zéro redressement. Je me disais que nous faisions bien les choses puisque, en théorie, l’URSSAF ne devrait récupérer ce pour quoi on est redevable. Cela confortait les dires du premier cabinet.
Pourquoi avez-vous fait le choix de Spartes ?
Vous êtes arrivé avec des solutions sûres et plus intéressantes que les précédents cabinets. Notre interlocutrice était rassurante en me disant « nous le faisons, ça fonctionne ». Et encore une fois, une connaissance qui est passée par votre cabinet. Donc, forcément, ça appuie.
Comment vos équipes ont-elles été accompagnées pendant notre mission ?
Nous avons été très bien accompagnés. Jennifer, notre interlocutrice, s'est présentée chez nous et nous a expliqué le fonctionnement. Dans un premier temps à moi, en tant de dirigeant puis au reste des équipes.
C’était un très bon accompagnement. Il n'y avait pas de place à l'improvisation en fait, c'était clair et précis.
Vos équipes ont également pris contact avec notre cabinet comptable, Impulse. Nous avions pris le temps de leur présenter à notre comptable votre solution pour qu'il en prenne connaissance, qu'il me donne son avis aussi. Il fallait qu'il y trouve aussi, lui, un intérêt, c'est-à-dire une connaissance supplémentaire. Et les échanges se sont très bien passés en l'occurrence entre vous et Impulse, c'était vraiment positif.
Pour la mise en place concrète, notre assistante RH a effectivement eu du travail supplémentaire mais ça s’est vraiment très bien passé. Ce n'est pas non plus un boulot qui nous a pris une semaine. L’investissement en temps par rapport aux économies qui ont été récupérées était plus qu'acceptable !
Que vous a apporté l’intervention de Spartes ?
Spartes nous a permis de réaliser des économies d’un montant très significatif. Après, ça nous a apporté des rencontres, des connaissances supplémentaires, des échanges et des idées qu'on n'avait pas aujourd'hui et qu'on pourra avoir et mettre en place demain.
Je m'entoure de personnes compétentes dans chaque domaine qui permettent de me rassurer et de savoir que mon entreprise est bien gérée. C’est la raison pour laquelle Spartes, c'est une corde de plus à notre arc. Et si je me dis que je cotise et que je paie uniquement ce que je dois et pas plus, ça me rassure en fait.
Que diriez-vous aux entreprises qui hésitent à faire appel à nos services ?
Ce que je retiens, c’est que c'était un accord gagnant-gagnant. On vous revers effectivement un montant des économies réalisées sauf que quand on n'a pas l'économie, en fait, on paie trois fois plus. J’estime que si vous nous trouvez une solution, c'est normal que je partage avec vous aussi.
Donc pour moi le mot de la fin, je dirais que c'est un accord gagnant-gagnant.